LE SITE OFFICIEL DE LA MAIRIE DE VENDAYS-MONTALIVET

Présentation

La ville de Vendays-Montalivet

Entre forêts des landes de GASCOGNE et marais, Vendays-Montalivet offre douze kilomètres de plages de sable fin bordés par les dunes.

La ville se découvre par ses sentiers pédestres et de randonnée et ses pistes cyclables. Un grand marché estival, de plus de deux cents stands, vous fait découvrir chaque jour ses richesses.

Mais Vendays-Montalivet ne s’offre pas qu’à ses touristes.

La ville évolue tout au long de l’année, portée par les projets des élus qui ont à cœur de la dynamiser. En soutenant le commerce local, en multipliant les animations en saison creuse, en travaillant au bien-être des petits et des plus grands, un véritable lien se crée entre les vendaysins, faisant de la commune plus qu’une destination touristique.

Le passé de Vendays-Montalivet

Le développement de la commune s’est fait lentement pour deux raisons.

D’abord, la ville est enclavée dans les marais, bien que les Hollandais les aient asséchés. De plus, sa situation géographique, à la pointe du Médoc, a aussi freiné le développement des liaisons routières. A la fin de la Guerre de Cent Ans, après la domination anglaise, la ville devient un petit fief de la seigneurie de Lesparre. Deux maisons nobles y sont alors construites : celles de La Salle et celle de Périguey. C’est en 1762 que Vendays prend son indépendance de la seigneurie de Lesparre, par la baillette du Duc de Gramont à Pierre de Bailly. Montalivet, lieu-dit de la commune, se développe considérablement en 1852, date à laquelle une station balnéaire y est créée en raison de l’attrait nouveau pour les bains de mer. Avec la construction de routes forestières et d’une ligne de chemin de fer entre Lesparre et Bordeaux, la foule y est chaque année plus nombreuse. C’est à cette époque que la ville prend le nom de « Vendays-Montalivet », en l’honneur de Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet, Pair de France et ministre de l’Intérieur sous Napoléon Ier.

L’origine du nom de « Montalivet » a fait l’objet d’autres hypothèses.

Il pourrait provenir du nom d’un ancien berger, Libet, dont on disait dans le patois local quand on lui amenait des provisions alors qu’il faisait paître son troupeau, « jou mounte a Libet ». On raconte également qu’un navire transportant des olives se serait échoué sur un banc rocheux au large de Soulac, et que sa cargaison, déviée par les courants marins, aurait échoué sur la plage de Vendays, qui serait ainsi devenue le « Mont des Oliviers » : Monte Oliveto. L’historien Jean Dufour rapporte aussi les hypothèses sur une origine bretonne (« avel eleiz »,  le vent en plein) ou encore gasconne (« mont alibet », mont nu). Cependant, les traces de ce passé lointain ont été depuis recouvertes par l’océan. La seule trace persistante est le nom de « Vendays », contraction des mots gaulois vindos (blanc) et ialo (clairière).

En 1949, sur une parcelle proche du littoral incendiée par les allemands, s’implante le plus grand centre héliomarin d’Europe. Quand quelques années plus tard la Fédération Naturiste Internationale y est créée, la renommée de Vendays-Montalivet dépasse les frontières.

D’une population estimée à plus de 2 500 habitants à l’année, ce chiffre s’élève jusqu’à 35 000 en période estivale.

BIEN QUE RECONNUE COMME STATION BALNÉAIRE, LE PATRIMOINE NATUREL DE VENDAYS-MONTALIVET SE NE RÉSUME PAS AU LITTORAL.

Bien sûr, l’océan Atlantique occupe une place prépondérante dans le paysage naturel. Les douze kilomètres de plage de sable blanc de la commune sont bordés par des dunes plantées d’oyats.

Il ne faut pas pour autant en oublier le Massif des Landes de Gascogne, peuplé de grands pins. Si la tempête de 1999 y a causé des dégâts, nombre de ces pins se dressent encore fièrement. Cette forêt abrite une faune et une flore variées. Dès le début de l’automne, aux pieds des chênes poussent notamment les fameux cèpes qui font la joie des cueilleurs. Le brame des cerfs attirent aussi de nombreux curieux.

Le marais de la Perge et celui du Gua permettent de nombreuses balades.

Après les plaisirs offerts par nos plages atlantiques, Vendays-Montalivet a donc de quoi contenter tous les amoureux de la nature.

D’UN POINT DE VUE ARCHITECTURAL, LES MONUMENTS DE LA COMMUNE FONT LA PART BELLE À LA PIERRE CALCAIRE, TRÈS RÉPANDUE DANS LA RÉGION.

L’Eglise Saint Seurin, dans le bourg de Vendays, bâtie en 1867, ravira les amateurs du style néogothique. Autre lieu symbolique de la ville, l’Hôtel de ville, lui aussi en pierre calcaire. En effet, des extensions y avaient été faites pour que cet ancien logement des enseignants puisse accueillir des bureaux.

Le lieu le plus emblématique de la commune reste « La colonne » à Montalivet. Une Vierge y a été érigée en 1868, face à l’Océan. Derrière elle, un buste rend hommage à Jacques LAPORTE, fondateur de Montalivet. Il est coutume d’en faire le tour à chaque passage à Montalivet.

Les amoureux de nature ne sont pas en reste et auront mille choses à découvrir entre le littoral, la forêt des Landes du Médoc et les marais.